Lire à Saint-Étienne est une association de promotion du livre et de la lecture.


L'agenda
Thé littéraire le 1er juin à 15h
au Musée d'Art et d'Industrie avec le concours de la Bibliothèque municipale.
• à 17h, émission «À plus d'un titre» avec Christian Bourbon pour "De Montreynaud à Tombouctou" (Numidya).
Demi-finale de la dictée de la Fête du Livre le samedi 3 juin à 10h
dans le grand amphi du lycée Claude Fauriel.
Émission le 8 juin à 17h
Philippe Fouillouse
pour son ouvrage "Code Livingstone" (Saint-Honoré)
à la médiathèque OPSIS.
Philippe Fouillouse, Code Livingstone (St Honoré éditions)
Émission le 16 juin à 17h
Véronique Mougin
pour son ouvrage "Un fils à maman" (Flammarion)
à la Médiathèque municipale.
• à 19h, après l'émission, remise des prix du concours de nouvelles organisé par la Médiathèque Municipale, Lire à Saint-Étienne et les Amis de la Moldavie en Auvergne Rhône-Alpes, sous la présidence de Véronique Mougin, marraine du concours.
Assemblée générale de Lire à Saint-Étienne à 15h le mercredi 21 juin
au Musée d'Art et d'Industrie.
Émission le 22 juin à 17h
Rolland Fournel
pour "La sidérurgie de la Loire" (Actes Graphiques).
à l'amicale laïque de Bizillon.
• à 16h30, émission «Carte blanche» avec Liliane Bois-Simon pour "Que sait-on de Sarah ?" (Abatos).
Émission le 29 juin à 17h
Bénédicte des Mazery
pour son ouvrage "L'intrus" (Plon)
à l'amicale laïque de Bizillon.
Lire sous l'aile le samedi 8 juillet
à Craintilleux.
• Amicale laïque de Bizillon, 16 rue Tréfilerie, Saint-Étienne
• Médiathèque municipale 22 rue Gouttebarge Saint-Étienne
• Médiathèque OPSIS, 1 place Jean Jaurès Roche-la-Molière
• Musée d'Art et d'Industrie : 2 place Louis Comte Saint-Étienne

Alain Faucoup, "Les amants de l'Aqueduc" (Éditions du Mot Passant)

Bernard Chaussinand, "Les établissements stéphanois Mercier. Cycle et cyclisme, un cocktail réussi" (Autoédition)

Christian Vérot & Georges Baudot, "Coke cerise" (Abatos)

Yves Bichet, "La beauté du geste" (Le Pommier)

Stéphanie Dupays, "Un puma dans le coeur" (L'Olivier)

Daniel de Roulet, "Portraits clandestins" (La Baconnière)

Jean Auroux, "Un chemin républicain" (Mot-Tech)

Michel Debout, "L'Humanisme est un combat" (Fondation Jean Jaurès) et "Humanisme et finance, l'impossible mariage" (Management Prospective)

Gaëlle Nohant, "Le bureau d'éclaircissement des destins" (Grasset)

Christian Bourbon, "De Montreynaud à Tombouctou" (Numidya)

Edmond Verroul, "La parole sauvée ou l'incroyable destin de Rosa Ausländer" (Éditions Maia)

Philippe Fouillouse, "Code Livingstone" (Saint-Honoré)

Véronique Mougin, "Un fils à maman" (Flammarion)

Rolland Fournel, "La sidérurgie de la Loire" (Actes Graphiques)

Bénédicte des Mazery, "L'intrus" (Plon)

Jean-Marie Quéméner, "La République des Pirates" (Pocket)

Pour tous renseignements,
contactez le 04 77 25 09 64
Programme des jeudis littéraires


Jeudi 6 avrilÀ plus d'un titre

Alain Faucoup
" Les amants de l'Aqueduc "
(Éditions du Mot Passant)

Au début du II siècle de notre ère, les Romains décident la construction d'un long aqueduc pour alimenter les thermes et les fontaines de Lugdunum (Lyon). Ils trouveront la main-d'œuvre parmi les ouvriers gaulois des villes de la Gaule.
C'est ainsi que Brennos, jeune tailleur de pierres, devra quitter sa famille pour exercer ses talents sur ce gigantesque chantier. Il y rencontrera Flavia. Tous deux vivront un amour fulgurant, mais impossible.
Parviendra-t-il à devenir l'homme important qui lui ouvrirait enfin la route vers sa belle ? …


Carte blanche


Bernard Chaussinand
" Les établissements stéphanois Mercier. Cycle et cyclisme, un cocktail réussi "
(Autoédition)

La ville de Saint-Étienne est riche d'une tradition industrielle d'importance, avec, entres autres, la métallurgie. Celle-ci a préparé un terreau favorable à deux secteurs d'activité complémentaires par leur saisonnalité : l'armurerie et le cycle. Concernant ce dernier, des pionniers ouvrirent la voie dans les années 1890, puis des entreprises éminentes prirent le relais, accompagnées par de nombreux artisans mécaniciens qui se spécialisèrent dans la fabrication de pièces détachées. Au lendemain de la guerre 1914 / 1918, quelques audacieux poursuivirent cet élan et fondèrent leur propre entreprise. C'est ainsi que naquit la société Mercier. Celle-ci aborda ce segment d'activité en se spécialisant dans la construction de cadres et n'entreprendra la fabrication de bicyclettes complètes que beaucoup plus tard. Ce secteur d'activité souffrait néanmoins de reconnaissance et pour y remédier, Émile Mercier eut l'idée d'avoir recours aux champions cyclistes pour promouvoir ses produits, imitant ainsi la grande maison stéphanoise Automoto qui, dans les années 1925, posséda la meilleure équipe du monde, ce qui, naturellement amplifia sa notoriété.


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Jeudi 13 avrilÀ plus d'un titre

Christian Vérot & Georges Baudot
" Coke cerise "
(Abatos)

Les habitants de Saint-Victor-sur-Loire, les Croque-cerises, vivant si tranquillement à l'ordinaire, voient leur quotidien bouleversé. La police ne passe pas un jour sans venir sur les lieux. Après une jeune femme retrouvée morte nue sur le sable, c'est au tour d'un SDF de finir ses jours au même endroit. Les quatre inspecteurs de la brigade de Nicolas Boyer vont mener l'enquête.


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Jeudi 20 avrilÀ plus d'un titre

Yves Bichet
" La beauté du geste "
(Le Pommier)

« Seuls quelques gestes démodés suscitent encore l'intérêt du public, ceux du tailleur de pierre par exemple, du stucateur, du cintreur. La main du bâtisseur moderne est ennuyeuse. Sa tâche est rebutante même si son entêtement à la poursuivre quelle que soit la saison, qu'il pleuve ou qu'il vente, mérite le respect ou l'admiration. Le maçon éprouve son savoir-faire jour après jour. Il l'améliore discrètement, en silence. Il affine sa technique sans revenir sur les erreurs du passé. Il se fiche de la beauté. Ce qui est fait est fait. Que dire de plus ?… « Qu'avec les mots, bien sûr, c'est l'exact opposé. Qu'on n'en finit jamais de retravailler les phrases, qu'on rature et corrige indéfiniment et que vouloir concilier ces deux activités est une illusion… »


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Jeudi 27 avrilÀ plus d'un titre

Stéphanie Dupays
" Un puma dans le cœur "
(L'Olivier)

"Morte de chagrin, le cœur brisé". C'est la légende familiale qui entoure l'arrière-grand-mère de la narratrice ; Anne Décimus aurait suivi son mari dans la mort. L'étrange proximité que Stéphanie Dupays ressent avec son ancêtre la pousse à mener l'enquête. Elle découvre alors un secret qui fait vaciller ses certitudes : Anne a passé la majeure partie de sa vie dans un asile ; elle est décédée quarante ans après la date que tous pensaient officielle. Comment l'existence de cette femme a-t-elle pu être effacée au point que même les siens ignorent tout d'elle ?


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Jeudi 4 maiÀ plus d'un titre

Daniel de Roulet
" Portraits clandestins "
(La Baconnière)

Daniel de Roulet a rassemblé vingt-trois portraits d'écrivaines et écrivains des trois derniers siècles puisés dans notre patrimoine littéraire occidental. Clandestins ils le sont parce qu'il s'agit de portraits écrits sans se prévaloir d'aucune autorité. Ces courts essais évoquent des vies dans lesquelles l'écriture a joué un rôle décisif si ce n'est exclusif : de Marcel Proust à Annemarie Schwarzenbach, en passant par Robert Walser, James Baldwin ou encore Agota Kristof.


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Jeudi 11 maiÀ plus d'un titre

Jean-Marie Quéméner
" La République des Pirates "
(Pocket)

La République des Pirates nous entraîne au début du XVIIIe siècle, de Carnac aux côtes du Venezuela en passant par les Antilles, dans le sillage des grands romans d'aventure de Daniel Defoe et Robert Louis Stevenson, guidée par le marin breton Yann Kervadec et son drôle d'équipage. Providence, Nassau, les Antilles... Yann Kervadec et son drôle d'équipage débarquent au beau milieu de cette République des Pirates. Une île régie par les "gens de fortune" qui y appliquent leurs règles égalitaires mais sanglantes, entre abordages, rhum, duels et partages de butins. Barbe Noire, Jack Calico Rackam, Charles Vane et leurs hommes règnent en maîtres sous la menace d'une Angleterre qui veut leur reprendre son bien. Yann deviendra, malgré lui, l'un d'entre eux. Aidé par deux farouches femmes pirates travesties en hommes, d'un acolyte irlandais maître artificier et médecin, shakespearien quand il a bu, et d'un géant noir tenancier du Jolly, taverne et maison close, il va se lancer dans la course. Contre la marine anglaise, malgré l'Espagnol, pour la survie de la communauté des "hommes libres"... et pour les yeux doux de Médeline qu'il a arrachée aux esclavagistes. Sous l'étrave de son navire : le trésor de Morgan, l'amour, les combats, la puissante magie africaine des esclaves, les ouragans et une famille de "gueux des mers" qu'il ménera au bout du monde et d'eux-mêmes. Une lutte à frères et à sang.


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Jeudi 17 maiÀ plus d'un titre

Jean Auroux
" Un chemin républicain "
(Mot-Tech)

De la petite ferme de Mardore, sans le Rhône, aux ministères de la 5e République, suivez le parcours trépidant de Jean Auroux, le ministre à qui l'on doit la grande réforme du Code du travail de 1982, la finalisation du projet du tunnel sous la Manche, ou encore la conduite accompagnée à partir de 16 ans !


Carte blanche


Michel Debout
" L'Humanisme est un combat "
(Fondation Jean Jaurès)

N'est pas humaniste qui le prétend et encore moins qui le proclame, mais il est vrai que depuis deux siècles cette ardente nécessité s'est transformée, pour nombre d'entre nous, en une exigence fragile, un projet raisonnable, une valeur désuète. Le combat humaniste doit se mener à partir d'une conscience claire des besoins humains essentiels : c'est maintenant que l'avenir s'invente en faisant tout pour construire une société du bien-être sans abandonner le destin des populations aux mains des possédants et le climat aux pilleurs de notre planète. Dans ce livre, l'auteur témoigne de ses nombreux engagements, pour le droit des femmes à l'IVG, contre l'Ordre des médecins et les inégalités de santé, pour la prévention du suicide et des risques psychologiques en entreprise, et de ses choix politiques.


Carte blanche


Michel Debout
" Humanisme et finance, l'impossible mariage "
(Management Prospective)

La question centrale de cet ouvrage consiste à interroger en théorie et en pratique la possibilité de rapprocher humanisme et finance. Est-il possible d'envisager des modes d'organisations qui pourraient favoriser, sinon la disparition des contradictions, au moins la conciliation, la réconciliation entre humanisme et finance ? La première partie, intitulée « Des réflexions pour guider l'action », comprend neuf chapitres qui partent de la réflexion ancrée sur la pratique pour nous aider à interroger nos croyances, nos convictions. La deuxième partie de cet ouvrage, intitulée « Agir pour enrichir la réflexion » questionne notre capacité d'agir à partir de l'expérience de neuf professionnels (chef d'entreprise, syndicaliste, dirigeant d'association de solidarité, maire, avocat…). Ils contribuent par leurs actions à construire un futur désirable, vivable et viable et nous délivrent un message d'espoir.


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Jeudi 25 maiÀ plus d'un titre

Gaëlle Nohant
" Le bureau d'éclaircissement des destins "
(Grasset)

Au cœur de l'Allemagne, l'International Tracing Service est le plus grand centre de documentation sur les persécutions nazies. La jeune Irène y trouve un emploi en 1990 et se découvre une vocation pour le travail d'investigation. Méticuleuse, obsessionnelle, elle se laisse happer par ses dossiers, au regret de son fils qu'elle élève seule depuis son divorce d'avec son mari allemand. À l'automne 2016, Irène se voit confier une mission inédite : restituer les milliers d'objets dont le centre a hérité à la libération des camps. Un Pierrot de tissu terni, un médaillon, un mouchoir brodé… Chaque objet, même modeste, renferme ses secrets. Il faut retrouver la trace de son propriétaire déporté, afin de remettre à ses descendants le souvenir de leur parent. Au fil de ses enquêtes, Irène se heurte aux mystères du Centre et à son propre passé. Cherchant les disparus, elle rencontre ses contemporains qui la bouleversent et la guident, de Varsovie à Paris et Berlin, en passant par Thessalonique ou l'Argentine. Au bout du chemin, comment les vivants recevront-ils ces objets hantés ?


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Jeudi 1er juinÀ plus d'un titre

Christian Bourbon
" De Montreynaud à Tombouctou "
(Numidya)

Dans ce livre très bien illustré, inspiré du film réalisé par Farid Milaz et l'association Numidya « Montreynaud, l'empreinte d'un quartier», l'auteur fait parler les habitants du quartier Montreynaud des années 60 à nos jours et met ces témoignages en miroir avec la vie de ceux de Tombouctou, cotoyés lors de longs séjours.


Carte blanche


Edmond Verroul
" La parole sauvée ou l'incroyable destin de Rosa Ausländer "
(Éditions Maia)

Comment une femme née en 1901 à Czernowitz, aujourd'hui en Ukraine, et dont la vie traverse comme par miracle toutes les catastrophes de ce siècle destructeur, est parvenue à devenir dans « le pays des coupables », l'Allemagne, une des poétesses germanophones majeures ? Seul un questionnement alterné entre les faits avérés de sa biographie et son œuvre bilingue permet de résoudre plusieurs énigmes. De cette enquête croisée émerge le portrait d'une femme qui documente dans ses poésies américaines et germanophones tous ces combats inégaux et ingrats que lui a réservés l'histoire. Pour la première fois, l'analyse des différents textes de l'œuvre intégrale permet de mettre en lumière que cette artiste se laisse inlassablement guider par la philosophie de son « Maître à vivre et à penser », Spinoza, pour affronter les terribles épreuves auxquelles elle n'était pas préparée.


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Jeudi 8 juinÀ plus d'un titre

Philippe Fouillouse
" Code Livingstone "
(Saint-Honoré)

"De Roche-la-Molière aux chutes Victoria en Zambie, le destin croisé et lié d'un jeune inspecteur enquêtant sur un cadavre vidé de son sang, d'un vieil homme désenchanté tiraillé entre le bien et le mal et d'une femme recherchant sa petite fille autiste kidnappée au bout du monde. Sur les traces de l'explorateur David Livingstone, tout semble mener à une issue fatale, mais voilà qu'un évènement insensé va tout bouleverser… Et si nous avions droit à une seconde chance? Et si nos certitudes n'étaient rien?"


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Jeudi 16 juinÀ plus d'un titre

Véronique Mougin
" Un fils à maman "
(Flammarion)

Quelle mouche a donc piqué Charly Picassiette ? À peine majeur, il veut quitter sa mère poule, leur ferme des collines, leur village. Paris l'attend, paraît-il, et puis la gloire : le garçon s'apprête à publier un "roman" très autobiographique où tous ses proches pourront se reconnaître. Mais Madame Picassiette et ses voisins ne l'entendent pas de cette oreille : pas question de laisser le mioche gâcher sa vie et raconter la leur. Au Chandoiseau (14 habitants, 3 chèvres), l'heure de la mobilisation générale a sonné…


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Jeudi 22 juinÀ plus d'un titre

Rolland Fournel
" La sidérurgie de la Loire "
(Actes Graphiques)

L'histoire de la sidérurgie du département de la Loire depuis 1815 est riche en événements. Après un démarrage difficile la Loire occupe une place de premier plan pour la fabrication du fer et surtout de l'acier. De 1953 à 1970, des entreprises sont réunies au sein de la Compagnie des Ateliers et Forges de la Loire (CAFL), puis de 1971 à 1984 cette dernière s'allie avec les usines Schneider pour créer Creusot-Loire, dont la faillite en 1984 sera une tragédie pour notre département.


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Jeudi 29 juinÀ plus d'un titre

Bénédicte des Mazery
" L'intrus "
(Plon)

Élise et Romain forment un couple heureux : bons jobs, un appartement, une vie ponctuée par le déjeuner du dimanche avec Mina, la mère d'Élise. Jusqu'au jour où Élise se découvre enceinte. Pas question de garder cet intrus, elle n'a jamais voulu d'enfant. Elle va avorter. Mais à la consultation, Élise découvre qu'elle est enceinte de sept mois. Terrorisée, elle s'enferme dans le mutisme. Pour éveiller en elle l'instinct maternel, Romain lui offre un reborn baby. Et Mina s'installe chez eux pour apprendre à sa fille les gestes d'une mère sur ce bébé de silicone, si semblable à un vrai, si rassurant. Tout semble rentrer dans l'ordre, le ventre d'Élise grossit soudain. Mais à la naissance, Élise ne parvient pas à créer de lien avec son véritable enfant. Tom est "trop vivant", il l'inquiète. Plus Élise doute d'elle, plus son attachement au reborn se renforce. La mère parfaite, c'est Mina, qui prend le relais de sa fille auprès de son enfant malgré les réticences de Romain. Au fil des jours, tandis que Tom se laisse dépérir aux côtés du reborn immuable, les rôles de chacun deviennent de plus en plus confus, jusqu'à ne plus savoir ce qui se joue réellement… L'intrus n'est pas forcément celui qu'on croit.